Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus ou la recherche de la sainteté à travers la vie quotidienne
Quand elle a 9 ans, sa sœur Pauline entre au carmel. A partir de ce moment, la jeune Thérèse tombe gravement malade. Elle reçoit finalement une belle grâce de guérison le jour de la Pentecôte 1883. Elle se donne pour toujours à Dieu le jour de sa première communion.
La nuit de Noël 1886, nouvelle grâce : elle retrouve la joie de vivre de son enfance.
L’année suivante, Thérèse prie intensément pour demander la conversion d’un condamné à mort… et elle l’obtient. Elle décide d’entrer au couvent des carmélites pour participer au salut des pécheurs.
Elle va avec son père demander au pape la permission d’entrer au Carmel. Elle entre au Carmel de Lisieux à l’âge de 15 ans.
Elle y prend le nom de « Thérèse de l’Enfant-Jésus et de la Sainte-Face ». Elle a une totale confiance en la miséricorde de Dieu. Elle est très attentive à la présence de Dieu dans les petites choses du quotidien.
Mais, Thérèse attrape froid et souffre d’abord de la gorge. Puis, plus tard, elle est atteinte par la tuberculose. En plus de la maladie, elle passe par une épreuve très délicate : la nuit de la foi. Thérèse n’arrive plus à prier.
Sa supérieure, Mère Agnès, lui demande d’écrire. Elle laisse donc un héritage important derrière elle : le livre de sa vie qui s’intitule « Histoire d’une âme ».
Avant sa mort, elle a affirmé qu’elle passerait son ciel à faire du bien sur la terre et qu’elle ferait tomber « une pluie de roses ».
Elle meurt à l’âge de 24 ans de la tuberculose, le 30 septembre 1897. Elle fût canonisée le 17 mai 1925 par le Pape Pie XI, en présence de 500 000 personnes.
Son corps repose dans un reliquaire de la chapelle du Carmel de Lisieux. Des milliers de pèlerins viennent se recueillir à Lisieux chaque année.
Sainte Thérèse est fêtée le 1er octobre.